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Entrevue 1

Date: 2011-10-30
Lieu: Longueuil, Quebec.
Sujet: Melanie (M) et Gerry (G) - parents d'une joueuse de l'équipe sénior féminin de MARC Volleyball.
Réalisée par: Andres Toke (A)

Historique

Melanie, Gerry et leur deux enfants ont récemment déménagé à Montréal, en provenance d'Edmonton. Ils recherchaient un club ou une équipe de volleyball adéquate où leur fille de 16 ans, qui a appris et joué au volleyball à Edmonton, pourrait continuer son implication dans ce sport qu'elle a choisi. L'entrevue a eu lieu durant leur présence au premier tournoi compétitive de leur fille avec MARC.

A: Comment avez vous trouvé MARC - après votre arrivée d'Edmonton, comment ête vous parvenu jusqu'au club?
G: Melanie était encore à Edmonton et je travaillais déjà ici et je recherchais des activités pour les enfants - notre fille est une joueuse de volleyball et j'ai donc cherché sur internet et un des sites que j'ai trouvé était celui de MARC.
A: Notre site web était-il utile?
G: Très utile. Je recherchais pour du volleyball féminin. Pendant ma recherche, j'ai trouvé le site de l'Université de McGill et MARC - À McGill c'était pour un camp.
M: Nous voulions une place avec un coach - quelqu'un qui a quelque chose à enseigner. Donc c'est ce que nous avons vu - un entraineur en chef - quelqu'un qui a un système et qui enseignait. Nous ne voulions pas juste du volleyball récréatif. Nous avons donc envoyé un courriel et nous avons eu une réponse immédiate - Louise (capitaine et coach d'une équipe de MARC) nous a répondu et nous a dit que notre fille pouvait venir et s'entraîner. C'est comme cela que notre communication a commencé. C'était quelques mois avant que nous arrivions ici. Nous avons envoyé un autre courriel pour dire qu'elle est arrivée et nous avions reçu une invitation à venir aux entrainements. Nous somme passé [au Centre Trenholme] et avons visité puis parlé en personne à Ants (entraineur en chef à MARC) et nous avons eu une agréable conversation - c'était plaisant - et il était très ouvert.
G: Oui. Il n'y avait pas de mal entendu. Il n'y avait pas lieu de s'entêter.
A: À votre avis, est-ce aussi le cas pour les autres sport ou...?
G: Trop de protocoles...
M: "Remplissez ceci", "remplissez cela". Ici c'était : "nous nous entrainons, et nous nous entrainons vraiment fort" - et je pense que c'est à cause de cela que plusieurs personnes abandonnent [rires] - mais nous aimions cela. Les gens qui viennent à MARC sont des gens qui aiment s'entrainer et qui veulent réellement travailler fort. Ils veulent écouter et ils possèdent un esprit d'athlète, ce sont ces gens là qui y viennent.

A: J'allais vous demander pourquoi voys avez choisi MARC mais je pense que vous avez déjà répondu à la question.
M: C'était une question de communication, de type de coaching et nous avons aussi lu ce que [Ants] a écrit sur le site web.
A: Les articles de l'entraineur en chef? Que signifiaient-ils pour vous?
M: Oui. Ils signifiaient qu'il y avait un coach qui a quelque chose a offrir et qu'il est quelqu'un qui a beaucoup d'expérience.
A: Pensez-vous que cela est quelque chose qui manquent ailleurs - dans les écoles, etc...?
M: Définitivement dans les écoles.
A: Pas assez de rigoureux?
M: À l'école, quand notre fille a commencé, le professeur d'éducation physique enseignait à l'aide d'un livre et disait [en ouvrant le livre] "Hmmm - volleyball. OK." Donc, quand elle a atteint le niveau pour intégrer un club, elle espérait pouvoir avoir de meilleures techniques - qu'elle aurait pu passer ces années à développer ces techniques et non pas juste jouer au volleyball. Elle n'était déjà pas contente que son professeur...
G: Et les autres jeunes de différentes écoles secondaires étaient plus forts...
A: Elle sentait qu'elle n'a pas reçu le type d'entrainement dont elle avait besoin...?
M: Qu'elle voulait plutôt. Elle ne savait pas. Quand tu es jeune, tu n'es pas toujours conscient jusqu'à ce que tu arrives aux compétitions et que tu finisses par te dire "Hmmm ! Il y a définitivement mieux ailleurs. Il y a plus de choses à apprendre. Nous pensions que le volleyball nétait que `ça'."

A: Vous recherchiez pour du volleyball parce que votre fille avait joué avant, mais y avait-il d'autres raisons particulièrs pourquoi vous (ou votre fille) aimiez le volleyball?
G: Elle a définitivement de la passion pour ce sport, et elle voyait une voie qu'elle voulait suivre de l'école secondaire à l'université, et peut-être obtenir une bourse, et elle sentait qu'elle avait les capacités physiques et l'interêt pour y parvenir.
M: Une vraie passion.

A: Quelles différences voyez-vous entre le volleyball à MARC et celui que vous avez vu à Edmonton?
M: Recevoir le service en touche - en Alberta, c'était contre les règles - l'arbitre aurait siffler, et se placer si bas pour recevoir - la roulade - Je n'ai jamais vu ça - c'était toujours un plongeons.
A: Vous n'aviez jamais vu quelqu'un effectuer une roulade?
G: Pas de la même façon.
M: J'ai vu une étudiante universitaire "stand on her head" une fois, mais involontairement - vous savez, juste pour l'avoir!
G: Quelques différences avec ce qu'on lui a enseigné sont au niveau du focus sur la condition physique. La force, la condition physique, la coordination et ensuite les techniques. Les techniques individuelles pures. C'est un important point de focalisation à MARC. Les techniques individuelles n'étaient pas vraiment enseignées, c'était essentiellement le jeu. Les pratiques étaient surtout basées sur le sens du jeu.
M: Elle avait des examens sur les positions sur le terrain, les mouvements, les jeux de pieds et c'était très spécifique. La capitaine devait savoir où chaque joueuse devait aller et appelait pour la passe - c'est très "technique" du point de vue de la communication entre les joueuses. Ici, c'est la condition physique... Nous, nos enfants, seraient peut-être bons dans les tournois - mais la condition physique ne serait pas présente.
G: Ce [la condition physique] n'était pas le point focal.
M: Oui. Ici, l'accent est mis sur les techniques, la position sous le ballon, la manchette avec les jambes, et tout ce qu'il fait - peut être mis ensemble pour obtenir un contact remarquable ou pour mieux se positionner sur le terrain.
G: Nous avons déjàa remarqué aujourd'hui, que tout ce qu'il [Ants] a enseigné à l'entrainement, les filles appliquent durant le jeu, ce sont donc des choses qu'elles ne prennent pas à la légère.

A: Comment les nouveaux venus voient-ils MARC à votre avis? Quelles étaient vos premières impressions?
G: L'infrastructure m'a surpris. Le gymnase ne fait pas partie d'une école - Il est situé dans un parc [de la ville].
M: Totalement dédié au volleyball. Bien situé. L'éclairage, l'espace, l'horaire. C'était impressionnant pour nous. Il y avait un entraineur en chef. Il y avait un bon leadership, comme la capitaine de l'équipe. Comme nouveaux venus, nous étions bien reçus. C'était incroyable comment nous avions était bien reçus. Nous ne nous sentions pas ignorés. C'était "Prête à courir? Allons-y!" Nous avions reçu un accueil amical mais c'était clair que le travail de longue halène était prévu. Et la différence, au niveau de l'entraînement, c'est que tu n'entends pas les filles chatter ou ignorer le coach, qui n'a pas à siffler, ni crier, ni à être en colère...
G: Tous ceux qui sont là veulent être là.
A: Je suppose que tous les entraineur mérite ce respect.
M: En fait, c'est ce que vous avez à MARC. C'est ce qui est attirant. Ce sont les gens qui veulent travailler ardument, qui veulent être coacher et qui veulent apprendre, apprendre le volleyball.

A: J'aimerais aussi avoir votre opinion sur ce que vous aimiez mieux ou peut-être moins au sujet de MARC comparativement à votre expérience à Edmonton?
M: Vous savez, comment nous voyons la situation - notre fille avait vraiment de la difficulté à décider si elle allait simplement oublié et abandonné tout ce qu'elle a appris et prendre pour acquis et faire confiance en ce qu'Ants lui apprend - pour oublier ce que les autres entraineurs lui ont martelé. Donc, nous en avions parlé et peut-être que c'est comme la dance, et peut-être que ceci est un type de dance et cela en est un autre, et il est toujours possible d'apprendre les pas de l'une et les pas de l'autre, et peut-être qu'elle deviendrait une meilleure joueuse en ayant toutes ces expériences. Donc, nous ne pensions pas que telle ou telle place est meilleure ou pire - elles sont toutes les deux caractérisées par des expériences enrichissantes pour elle. Je pense qu'elle est ici pour une raison : s'entrainer avec Ants.
G: Il est probablement l'un des meilleurs entraineurs que je n'ai jamais vu.
M: Oui. Il y a un livre intitulé "The Talent Code" et lorsque vous le lisez, vous allez y voir Ants. Dans le livre, ils décrivent un maitre-entraîneur et c'est Ants.

A: Merci beaucoup d'avoir parler avec moi aujourd'hui.  

 
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